- Courrier de demande au Conseil Général : 3 mai 2009.
- Rendez-vous d'informations au C.G. de notre département : 3 juin 2009.
- Dossier complet enregistré au C.G. : 24 septembre 2009.
- 1er rendez-vous assistante sociale chez nous le 09 décembre 2009 (on étaient trèès tendus).
- 1er rendez-vous psychologue : 22 décembre 2009 (notre anniversaire de mariage)
- 2e rendez-vous psychologue : 22 janvier 2010
- 2e rendez-vous assistante sociale chez nous : 25 février 2010
- 3e rendez-vous psychologue :19 février 2010
- 3e rendez-vous assistante sociale chez nous : 15 avril 2010
Contacts téléphoniques (rythmés par la souris verte) suivis en mai de la rencontre (dans notre département) de Sandrine et de son mari Didier, ayant adopté leur petit Théo au Mali l'année précédente ; adhésion à plusieurs associations d'aide à la l'enfance défavorisée au Mali et Association de parents adoptant au Mali.
Juin 2010 : Assemblée Générale de Demisenya à Paris (APPO), puis le dernier week-end de juin, AG des "enfants du Mali", (très accueillants) près de Caen (déplacement en compagnie de notre couple d'amis et de Théo).
A notre retour, le recommandé pour notre agrément (du 25 juin) attendait dans notre boîte aux lettres : Youpi ! Chasse aux nombreuses pièces administratives, avec les conseils de Sandrine, puis envoi du dossier complet qui arriva au Mali en Septembre 2010.
L'hiver passa et il y eut pas mal de remue-ménage dans ce pays (enlèvements, problèmes à la crèche, Directrice emprisonnée, décès de bébés arrivés trop faibles pour survivre etc...), Le Mali subit de gros ralentissements et la commission de septembre 2009 qui avait retenu 152 dossiers, n'était toujours pas terminée (pas plus aujourd'hui en février 2012), l'année 2010 s'est terminée sans nouvelle commission (certains diront que "si, il y a eu une mini-commission", mais cela n'en était pas une puisqu'il s'agissait plutôt de "remplacer" les dossiers de personnes ayant abandonné leur projet)...
D'abord déboussolés, parce que nous y avions cru à ce dossier (notre unique demande) nous décidons finalement de tenter un deuxième dossier ailleurs.
Deux nuits à chercher sur internet comme une hystérique, voyant nos chances se réduire comme peau de chagrin, avec nos peu d'années de mariage, les pays d'Afrique (que nous aimons) ne nous offrent guère de perspectives.
Mais pourtant, un nouveau continent se précise, et l'INDE qui ne demande aux couples que 5 ans de vie commune, semble une possibilité, mais les enfants proposés sont majoritairement plus âgés. Sur les conseils d'une nouvelle copinaute (du département également) je commence à réfléchir à la question. J-M (dite Mimi) ayant adopté deux petites "grandes" filles en Inde quelques mois plus tôt, me prodigue une foule d'informations et de sites à consulter : de quoi m'occuper.
Nous décidons de revoir notre agrément initialement prévu jusqu'à 5 ans et faisons une demande à notre Conseil Général.
Nous n'avions que 6 mois d'agrément mais nous insistons. Un premier rendez-vous (froid) pour s'expliquer au Conseil Général, puis un courrier pour confirmer notre démarche... Ensuite on reprend les investigations en vue d'une nouvelle notice. Un rendez-vous avec la psy qui nous avait déjà reçus (un peu frais aussi l'accueil cette fois, contrairement aux rendez-vous de l'agrément), puis c'est l'Assistante sociale qui revient nous voir, par un bel après-midi de printemps, nous l'avons reçue avec le café et les biscuits dans le jardin, sous le parasol, je me souviens elle était très encourageante, et bienveillante (et en retard d'une heure aussi). Nous avons eu de nouveaux doutes et avons pas mal hésité (surtout moi), notre coeur balançait pour une fratrie, mais j'ai préféré m'en tenir à une extension pour un enfant plus grand (plus tard, une fratrie nous serait proposée par erreur, et notre coeur a encore beaucoup battu).
A notre retour, le recommandé pour notre agrément (du 25 juin) attendait dans notre boîte aux lettres : Youpi ! Chasse aux nombreuses pièces administratives, avec les conseils de Sandrine, puis envoi du dossier complet qui arriva au Mali en Septembre 2010.
L'hiver passa et il y eut pas mal de remue-ménage dans ce pays (enlèvements, problèmes à la crèche, Directrice emprisonnée, décès de bébés arrivés trop faibles pour survivre etc...), Le Mali subit de gros ralentissements et la commission de septembre 2009 qui avait retenu 152 dossiers, n'était toujours pas terminée (pas plus aujourd'hui en février 2012), l'année 2010 s'est terminée sans nouvelle commission (certains diront que "si, il y a eu une mini-commission", mais cela n'en était pas une puisqu'il s'agissait plutôt de "remplacer" les dossiers de personnes ayant abandonné leur projet)...
D'abord déboussolés, parce que nous y avions cru à ce dossier (notre unique demande) nous décidons finalement de tenter un deuxième dossier ailleurs.
Deux nuits à chercher sur internet comme une hystérique, voyant nos chances se réduire comme peau de chagrin, avec nos peu d'années de mariage, les pays d'Afrique (que nous aimons) ne nous offrent guère de perspectives.
Mais pourtant, un nouveau continent se précise, et l'INDE qui ne demande aux couples que 5 ans de vie commune, semble une possibilité, mais les enfants proposés sont majoritairement plus âgés. Sur les conseils d'une nouvelle copinaute (du département également) je commence à réfléchir à la question. J-M (dite Mimi) ayant adopté deux petites "grandes" filles en Inde quelques mois plus tôt, me prodigue une foule d'informations et de sites à consulter : de quoi m'occuper.
Nous décidons de revoir notre agrément initialement prévu jusqu'à 5 ans et faisons une demande à notre Conseil Général.
Nous n'avions que 6 mois d'agrément mais nous insistons. Un premier rendez-vous (froid) pour s'expliquer au Conseil Général, puis un courrier pour confirmer notre démarche... Ensuite on reprend les investigations en vue d'une nouvelle notice. Un rendez-vous avec la psy qui nous avait déjà reçus (un peu frais aussi l'accueil cette fois, contrairement aux rendez-vous de l'agrément), puis c'est l'Assistante sociale qui revient nous voir, par un bel après-midi de printemps, nous l'avons reçue avec le café et les biscuits dans le jardin, sous le parasol, je me souviens elle était très encourageante, et bienveillante (et en retard d'une heure aussi). Nous avons eu de nouveaux doutes et avons pas mal hésité (surtout moi), notre coeur balançait pour une fratrie, mais j'ai préféré m'en tenir à une extension pour un enfant plus grand (plus tard, une fratrie nous serait proposée par erreur, et notre coeur a encore beaucoup battu).
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